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L'ASPIRINE
L’aspirine ou acide acétyl-salicylique appartient à la famille des salicylés. Elle fait partie des médicaments les plus fréquemment prescrits (AINS), prescriptions auxquelles viennent s’ajouter une consommation importante sous forme d’automédication. Cette molécule est à la fois analgésique périphérique, indiquée dans la prise en charge de la douleur d’intensité faible à modérée d’origine variée, antipyrétique, anti-inflammatoire à forte dose (6 grammes maximum par jour, à répartir en 3 ou 4 prises espacées de 4 heures minimum), antiagrégante plaquettaire à faible dose (moins de 300 mg/jour), et uricosurique.
L’aspirine agit en inhibant la synthèse des prostaglandines par son action sur les cyclo-oxygénases (COX 1 et COX 2). De son mode d’action sur l’inhibition de la synthèse des prostaglandines, découlent directement la majorité des effets indésirables (notamment digestifs, hémorragiques), des précautions d'emploi que nécessite le traitement et des contre-indications liés à la prise d’aspirine.
Effets utiles en clinique
Effet antalgique
Effet anti-inflammatoire
Effet antipyrétique
Effet anti-agrégant plaquettaire
Contre-indications absolues :
- Hypersensibilité aux salicylés ou à ses excipients
- Certaines interactions médicamenteuses (cf ce paragraphe)
- Grossesse : dernier trimestre (dose supérieure à 500 mg/jour et par prise)
- Allaitement
- Nouveau-né
- Ulcère gastrique, ulcère duodénal, gastrite
- Syndrome hémorragique (acquis ou congénital)
- Anesthésie péridurale (risque d’hématome extradural)
- Antécédent d’asthme provoqué par l’administration de salicylés
- Insuffisance hépatique sévère
- Insuffisance rénale sévère
- Insuffisance cardiaque sévère non contrôléeL'ASPIRINE đ đ L’aspirine ou acide acétyl-salicylique appartient à la famille des salicylés. Elle fait partie des médicaments les plus fréquemment prescrits (AINS), prescriptions auxquelles viennent s’ajouter une consommation importante sous forme d’automédication. Cette molécule est à la fois analgésique périphérique, indiquée dans la prise en charge de la douleur d’intensité faible à modérée d’origine variée, antipyrétique, anti-inflammatoire à forte dose (6 grammes maximum par jour, à répartir en 3 ou 4 prises espacées de 4 heures minimum), antiagrégante plaquettaire à faible dose (moins de 300 mg/jour), et uricosurique. L’aspirine agit en inhibant la synthèse des prostaglandines par son action sur les cyclo-oxygénases (COX 1 et COX 2). De son mode d’action sur l’inhibition de la synthèse des prostaglandines, découlent directement la majorité des effets indésirables (notamment digestifs, hémorragiques), des précautions d'emploi que nécessite le traitement et des contre-indications liés à la prise d’aspirine. Effets utiles en clinique Effet antalgique Effet anti-inflammatoire Effet antipyrétique Effet anti-agrégant plaquettaire Contre-indications absolues : - Hypersensibilité aux salicylés ou à ses excipients - Certaines interactions médicamenteuses (cf ce paragraphe) - Grossesse : dernier trimestre (dose supérieure à 500 mg/jour et par prise) - Allaitement - Nouveau-né - Ulcère gastrique, ulcère duodénal, gastrite - Syndrome hémorragique (acquis ou congénital) - Anesthésie péridurale (risque d’hématome extradural) - Antécédent d’asthme provoqué par l’administration de salicylés - Insuffisance hépatique sévère - Insuffisance rénale sévère - Insuffisance cardiaque sévère non contrôléeConnectez-vous pour aimer, partager et commenter! -
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BEC-DE-LIEVREđ¶đŸ
Qu'est-Ce Qu'un Bec-De-Lièvre Ou Une Fente Palatine ?
Un bec-de-lièvre se caractérise par une fente dans la lèvre supérieure. Environ 700 bébés naissent chaque année avec cette malformation aux États-Unis. Comme la fente palatine, cette malformation est un défaut de fusion du tissu de la face de l'embryon. Si personne ne connait vraiment les raisons de cette malformation, elle a tendance à être héréditaire. Un déséquilibre hormonal, des carences nutritionnelles et certains médicaments peuvent causer cette malformation.
On parle de fente palatine lorsque le palais n'est pas correctement fermé, permettant une communication directe entre le nez et la bouche. Pendant la grossesse, la mâchoire supérieure du bébé ne se ferme pas comme prévu et laisse une cavité. Une fente palatine est une malformation plus grave que le bec-de-lièvre, même si une intervention chirurgicale est nécessaire dans les deux cas.
Des difficultés pour manger, respirer, parler ainsi que des problèmes psychologiques sont quelques-unes des complications chez l'enfant atteint d'un bec-de-lièvre ou d'une fente palatine. Une équipe composée de spécialistes aidera à corriger cette malformation, en chirurgie plastique, chirurgie maxillo-faciale, ortorhinolaryngologie, dentisterie, orthodontie et chirurgie buccale.BEC-DE-LIEVREđ¶đŸđ Qu'est-Ce Qu'un Bec-De-Lièvre Ou Une Fente Palatine ? Un bec-de-lièvre se caractérise par une fente dans la lèvre supérieure. Environ 700 bébés naissent chaque année avec cette malformation aux États-Unis. Comme la fente palatine, cette malformation est un défaut de fusion du tissu de la face de l'embryon. Si personne ne connait vraiment les raisons de cette malformation, elle a tendance à être héréditaire. Un déséquilibre hormonal, des carences nutritionnelles et certains médicaments peuvent causer cette malformation. On parle de fente palatine lorsque le palais n'est pas correctement fermé, permettant une communication directe entre le nez et la bouche. Pendant la grossesse, la mâchoire supérieure du bébé ne se ferme pas comme prévu et laisse une cavité. Une fente palatine est une malformation plus grave que le bec-de-lièvre, même si une intervention chirurgicale est nécessaire dans les deux cas. Des difficultés pour manger, respirer, parler ainsi que des problèmes psychologiques sont quelques-unes des complications chez l'enfant atteint d'un bec-de-lièvre ou d'une fente palatine. Une équipe composée de spécialistes aidera à corriger cette malformation, en chirurgie plastique, chirurgie maxillo-faciale, ortorhinolaryngologie, dentisterie, orthodontie et chirurgie buccale. -
BOUCHON DE CÉRUMEN QU'EST-CE ??
Définition : qu’est-ce qu’un bouchon de cérumen ou bouchon de cire d'oreille ?
Un bouchon de cérumen, également appelé bouchon de cire d’oreille, est une accumulation excessive de cérumen dans le conduit auditif externe, la partie du canal auditif qui s'étend du pavillon de l'oreille jusqu'au tympan. Le cérumen est une substance cireuse produite naturellement par les glandes situées dans le conduit auditif externe. Son rôle est de protéger l'oreille en emprisonnant la poussière, les particules étrangères et les bactéries, évitant ainsi leur intrusion dans l'oreille interne. Un bouchon de cérumen qui sort tout seul est le résultat d'une évacuation naturelle du cérumen par le canal auditif externe. Cependant, le cérumen peut parfois s'accumuler de manière excessive, ce qui entraîne la formation d’un bouchon.
Quelles sont les causes d’un bouchon de cérumen ?
Plusieurs facteurs peuvent contribuer à la formation d'un bouchon de cérumen. Les causes courantes incluent :
Production excessive de cérumen : certaines personnes ont une production naturelle de cérumen d’oreille plus importante que d'autres, ce qui les expose davantage au risque de bouchons.
Utilisation de coton-tiges : insérer des objets tels que des coton-tiges dans l'oreille peut pousser le cérumen plus profondément dans le conduit auditif, ce qui favorise la formation de bouchons.
Port d'écouteurs, de protections antibruit ou d'appareils auditifs : les dispositifs qui obstruent le conduit auditif peuvent perturber le processus naturel d'expulsion du cérumen et former, in fine, des bouchons. De plus, ces dispositifs ont tendance à augmenter les sécrétions, favorisant ainsi l’obstruction du conduit.
Anatomie de l'oreille : certaines personnes ont un conduit auditif étroit ou des courbes prononcées, ce qui peut rendre plus difficile l'évacuation naturelle du cérumen. La présence de poils dans le conduit auditif peut aussi empêcher l'évacuation naturelle du cérumen.
La baignade : en cas de pratique de la natation, le cérumen peut gonfler au contact de l’eau, entraînant alors un bouchon.BOUCHON DE CÉRUMEN QU'EST-CE ?? Définition : qu’est-ce qu’un bouchon de cérumen ou bouchon de cire d'oreille ? Un bouchon de cérumen, également appelé bouchon de cire d’oreille, est une accumulation excessive de cérumen dans le conduit auditif externe, la partie du canal auditif qui s'étend du pavillon de l'oreille jusqu'au tympan. Le cérumen est une substance cireuse produite naturellement par les glandes situées dans le conduit auditif externe. Son rôle est de protéger l'oreille en emprisonnant la poussière, les particules étrangères et les bactéries, évitant ainsi leur intrusion dans l'oreille interne. Un bouchon de cérumen qui sort tout seul est le résultat d'une évacuation naturelle du cérumen par le canal auditif externe. Cependant, le cérumen peut parfois s'accumuler de manière excessive, ce qui entraîne la formation d’un bouchon. Quelles sont les causes d’un bouchon de cérumen ? Plusieurs facteurs peuvent contribuer à la formation d'un bouchon de cérumen. Les causes courantes incluent : Production excessive de cérumen : certaines personnes ont une production naturelle de cérumen d’oreille plus importante que d'autres, ce qui les expose davantage au risque de bouchons. Utilisation de coton-tiges : insérer des objets tels que des coton-tiges dans l'oreille peut pousser le cérumen plus profondément dans le conduit auditif, ce qui favorise la formation de bouchons. Port d'écouteurs, de protections antibruit ou d'appareils auditifs : les dispositifs qui obstruent le conduit auditif peuvent perturber le processus naturel d'expulsion du cérumen et former, in fine, des bouchons. De plus, ces dispositifs ont tendance à augmenter les sécrétions, favorisant ainsi l’obstruction du conduit. Anatomie de l'oreille : certaines personnes ont un conduit auditif étroit ou des courbes prononcées, ce qui peut rendre plus difficile l'évacuation naturelle du cérumen. La présence de poils dans le conduit auditif peut aussi empêcher l'évacuation naturelle du cérumen. La baignade : en cas de pratique de la natation, le cérumen peut gonfler au contact de l’eau, entraînant alors un bouchon. -
LA VARIOLE DE SINGE/MpoxLA VARIOLE DE SINGE/MpoxđLes symptômes courants de la #mpox comprennent une éruption cutanée qui peut commencer ou être suivie de :
âïžfièvre
âïžgonflement des ganglions lymphatiques
âïžmal de gorge
âïžmaux de tête
âïždouleurs musculaires
âïžmal de dos
âïžfaible énergie
#VaincreMpoxEnRDC -
Parfois nommé « attaque cérébrale », l’accident vasculaire cérébral (AVC) correspond soit à l’obstruction, soit à la rupture d’un vaisseau sanguin dans le cerveau. Il peut survenir à tout âge chez l’adulte. En raison du risque de dommages irréversibles sur le cerveau, il s’agit d’une urgence médicale absolue qui nécessite d’appeler le 15 (Samu) ou le numéro d’urgence européen (112) pour une prise en charge immédiate. L’arrivée récente de la thrombectomie (mécanique), en plus de la thrombolyse (pharmacologique), a considérablement amélioré la prise en charge des patients.
Les différents types d’AVC
On distingue deux types d’accidents vasculaires cérébraux : les infarctus cérébraux et les hémorragies cérébrales ou méningées.
Les infarctus cérébraux (environ 80 % des AVC) résultent le plus souvent de l’occlusion d’une artère cérébrale par un caillot sanguin (thrombus). On parle aussi de thrombose ou d’embolie cérébrale, ou encore d’AVC ischémiques. Environ 25% d’entre eux sont dus à une arythmie cardiaque (fibrillation atriale), 25% à la rupture d’une plaque d’athérome, 25% à une maladie des petites artères cérébrales et le quart restant à d’autres causes parmi lesquelles la dissection des artères carotidiennes et vertébrales (une lésion dans la paroi des artères qui provoque une infiltration du sang et un gonflement du volume de la paroi). Cette dernière étant la première cause d’AVC ischémique chez le jeune adulte.
Plus rarement, l’infarctus cérébral peut avoir une origine veineuse (et non artérielle) : on parle alors de thrombose veineuse cérébrale, qui représente environ 1% des AVC. Ces thromboses surviennent à tout âge, avec un pic important chez les femmes jeunes lié à des facteurs hormonaux (contraceptifs œstroprogestatifs, grossesse et post-partum) et favorisé par le tabagisme.
Les hémorragies cérébrales et méningées représentent respectivement 15% et 5% des AVC. Elles correspondent à la rupture d’une artère cérébrale au niveau du cortex ou des méninges qui l’entourent. Dans ce dernier cas, la cause principale est la rupture d’anévrisme (une dilatation anormale de la paroi artérielle). Les hémorragies intracérébrales sont soit secondaires à un traumatisme, à une malformation vasculaire ou encore une tumeur, soit spontanées. Dans ce dernier cas, lorsque l’hémorragie est profonde, elle est généralement due à une maladie des petites artères liée à des facteurs de risque vasculaires dont l’hypertension artérielle est le chef de file. L’angiopathie amyloïde cérébrale est quant à elle responsable de la plupart des hémorragies spontanées superficielles. Il s’agit d’une anomalie des parois vasculaires dont le tableau clinique associe hémorragies récidivantes et déclin cognitif.
Reconnaître les symptômes
Compte tenu de l’urgence médicale que constitue un AVC, il est très important d’en connaître les symptômes. Ceux-ci sont extrêmement divers car ils dépendent de la localisation exacte de la lésion, chaque partie du cerveau étant spécialisée dans des tâches particulières (mouvement, sensibilité, vision, langage…). Cependant, certains signes très fréquents doivent donner l’alerte :
une faiblesse musculaire, une paralysie d’un ou plusieurs membres ou du visage, le plus souvent d’un seul côté du corps (hémiplégie),
une perte de sensibilité ou un engourdissement d’un ou plusieurs membres ou du visage,
une perte de la vision d’un œil (cécité unilatérale) ou de la moitié du champ visuel pour chaque œil (hémianopsie), ou encore une vue double (diplopie),
des difficultés à parler, soit en raison d’une difficulté à articuler (dysarthrie) et/ou à trouver ses mots, soit en raison de l’utilisation de mots inintelligibles et/ou de difficultés à comprendre ce que l’on entend (aphasie),
des troubles de l’équilibre ou de la coordination des membres,
des troubles de la vigilance pouvant aller jusqu’au coma,
un mal de tête brutal, intense et inhabituel.Parfois nommé « attaque cérébrale », l’accident vasculaire cérébral (AVC) correspond soit à l’obstruction, soit à la rupture d’un vaisseau sanguin dans le cerveau. Il peut survenir à tout âge chez l’adulte. En raison du risque de dommages irréversibles sur le cerveau, il s’agit d’une urgence médicale absolue qui nécessite d’appeler le 15 (Samu) ou le numéro d’urgence européen (112) pour une prise en charge immédiate. L’arrivée récente de la thrombectomie (mécanique), en plus de la thrombolyse (pharmacologique), a considérablement amélioré la prise en charge des patients. Les différents types d’AVC On distingue deux types d’accidents vasculaires cérébraux : les infarctus cérébraux et les hémorragies cérébrales ou méningées. Les infarctus cérébraux (environ 80 % des AVC) résultent le plus souvent de l’occlusion d’une artère cérébrale par un caillot sanguin (thrombus). On parle aussi de thrombose ou d’embolie cérébrale, ou encore d’AVC ischémiques. Environ 25% d’entre eux sont dus à une arythmie cardiaque (fibrillation atriale), 25% à la rupture d’une plaque d’athérome, 25% à une maladie des petites artères cérébrales et le quart restant à d’autres causes parmi lesquelles la dissection des artères carotidiennes et vertébrales (une lésion dans la paroi des artères qui provoque une infiltration du sang et un gonflement du volume de la paroi). Cette dernière étant la première cause d’AVC ischémique chez le jeune adulte. Plus rarement, l’infarctus cérébral peut avoir une origine veineuse (et non artérielle) : on parle alors de thrombose veineuse cérébrale, qui représente environ 1% des AVC. Ces thromboses surviennent à tout âge, avec un pic important chez les femmes jeunes lié à des facteurs hormonaux (contraceptifs œstroprogestatifs, grossesse et post-partum) et favorisé par le tabagisme. Les hémorragies cérébrales et méningées représentent respectivement 15% et 5% des AVC. Elles correspondent à la rupture d’une artère cérébrale au niveau du cortex ou des méninges qui l’entourent. Dans ce dernier cas, la cause principale est la rupture d’anévrisme (une dilatation anormale de la paroi artérielle). Les hémorragies intracérébrales sont soit secondaires à un traumatisme, à une malformation vasculaire ou encore une tumeur, soit spontanées. Dans ce dernier cas, lorsque l’hémorragie est profonde, elle est généralement due à une maladie des petites artères liée à des facteurs de risque vasculaires dont l’hypertension artérielle est le chef de file. L’angiopathie amyloïde cérébrale est quant à elle responsable de la plupart des hémorragies spontanées superficielles. Il s’agit d’une anomalie des parois vasculaires dont le tableau clinique associe hémorragies récidivantes et déclin cognitif. Reconnaître les symptômes Compte tenu de l’urgence médicale que constitue un AVC, il est très important d’en connaître les symptômes. Ceux-ci sont extrêmement divers car ils dépendent de la localisation exacte de la lésion, chaque partie du cerveau étant spécialisée dans des tâches particulières (mouvement, sensibilité, vision, langage…). Cependant, certains signes très fréquents doivent donner l’alerte : une faiblesse musculaire, une paralysie d’un ou plusieurs membres ou du visage, le plus souvent d’un seul côté du corps (hémiplégie), une perte de sensibilité ou un engourdissement d’un ou plusieurs membres ou du visage, une perte de la vision d’un œil (cécité unilatérale) ou de la moitié du champ visuel pour chaque œil (hémianopsie), ou encore une vue double (diplopie), des difficultés à parler, soit en raison d’une difficulté à articuler (dysarthrie) et/ou à trouver ses mots, soit en raison de l’utilisation de mots inintelligibles et/ou de difficultés à comprendre ce que l’on entend (aphasie), des troubles de l’équilibre ou de la coordination des membres, des troubles de la vigilance pouvant aller jusqu’au coma, un mal de tête brutal, intense et inhabituel. -
QU'EST-CE QU'UNE CARIE DENTAIRE ?
La carie est une cavité qui se forme suite à la destruction de l’émail, puis de la dentine. Les coupables ? Des bactéries qui agressent les dents, la consommation de sucres et certains comportements néfastes pour la santé bucco-dentaire.
Les caries commencent toujours par se développer sur la surface de la dent. Si elles ne sont pas traitées à temps, elles progressent jusqu’à parvenir à la pulpe dentaire. La rage de dent, l’abcès dentaire et l’infection représentent certaines complications d’une carie non soignée. Dans les cas extrêmes, celle-ci peut entraîner la perte définitive de la dent.
Sachez que, sans traitement, le processus carieux progresse irrémédiablement. Seule l’intervention d’un médecin-dentiste peur arrêter la propagation de la maladie dans les tissus qui environnent la dent.
Quels sont les facteurs à risque ?
Toutes les personnes, indépendamment de leur âge, sont susceptibles de développer des caries à un moment de leur vie. Il existe cependant de nombreux facteurs qui favorisent l’apparition de cette maladie infectieuse dans la cavité buccale. Voici les principaux :
Une mauvaise hygiène bucco-dentaire
Un brossage des dents inefficace ou partiel
Le port d’appareillages dentaires
Un mauvais positionnement des dents
Un déficit d’apport en fluoride
La plaque dentaire non éliminée qui se transforme en tartre
La sécheresse de la cavité buccale (manque de salive)
Le reflux gastro-œsophagien (RGO) et les brûlures d’estomac
Une importante consommation de produits sucrés
Le grignotage
Les troubles alimentaires comme la boulimie et l’anorexieQU'EST-CE QU'UNE CARIE DENTAIRE ?đŠ·đŠ đŠ·đ©ș La carie est une cavité qui se forme suite à la destruction de l’émail, puis de la dentine. Les coupables ? Des bactéries qui agressent les dents, la consommation de sucres et certains comportements néfastes pour la santé bucco-dentaire. Les caries commencent toujours par se développer sur la surface de la dent. Si elles ne sont pas traitées à temps, elles progressent jusqu’à parvenir à la pulpe dentaire. La rage de dent, l’abcès dentaire et l’infection représentent certaines complications d’une carie non soignée. Dans les cas extrêmes, celle-ci peut entraîner la perte définitive de la dent. Sachez que, sans traitement, le processus carieux progresse irrémédiablement. Seule l’intervention d’un médecin-dentiste peur arrêter la propagation de la maladie dans les tissus qui environnent la dent. Quels sont les facteurs à risque ? Toutes les personnes, indépendamment de leur âge, sont susceptibles de développer des caries à un moment de leur vie. Il existe cependant de nombreux facteurs qui favorisent l’apparition de cette maladie infectieuse dans la cavité buccale. Voici les principaux : Une mauvaise hygiène bucco-dentaire Un brossage des dents inefficace ou partiel Le port d’appareillages dentaires Un mauvais positionnement des dents Un déficit d’apport en fluoride La plaque dentaire non éliminée qui se transforme en tartre La sécheresse de la cavité buccale (manque de salive) Le reflux gastro-œsophagien (RGO) et les brûlures d’estomac Une importante consommation de produits sucrés Le grignotage Les troubles alimentaires comme la boulimie et l’anorexie -
Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'essayons pas; mais c'est parce que nous n'essayons pas qu'elles sont difficiles âđŸ
#Médecineđ©”Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'essayons pas; mais c'est parce que nous n'essayons pas qu'elles sont difficiles âđŸđ©ș #Médecineđ€đ©”𩞠-
Les lunettes anti-lumière bleue
Ces lunettes s'appuient sur une technologie qui permet de filtrer la lumière bleue, de façon à ne pas provoquer de fatigue visuelle chez le porteur.
La technologie utilisée, qui permet de traiter les verres en y ajoutant un filtre, limite considérablement l'effet causé par la lumière bleue. Ce dernier est connu non seulement pour causer des migraines et des fatigues oculaires, mais également pour troubler le sommeil des personnes qui y sont exposées trop longuement. En effet, la lumière artificielle émise par les LED cause des retards de sommeil, en sus des lésions progressives qu'elle fait subir à la rétine.Les lunettes anti-lumière bleue đ„žđ Ces lunettes s'appuient sur une technologie qui permet de filtrer la lumière bleue, de façon à ne pas provoquer de fatigue visuelle chez le porteur. La technologie utilisée, qui permet de traiter les verres en y ajoutant un filtre, limite considérablement l'effet causé par la lumière bleue. Ce dernier est connu non seulement pour causer des migraines et des fatigues oculaires, mais également pour troubler le sommeil des personnes qui y sont exposées trop longuement. En effet, la lumière artificielle émise par les LED cause des retards de sommeil, en sus des lésions progressives qu'elle fait subir à la rétine. -
Une hydrocèle
Une hydrocèle est une accumulation de liquide dans une « poche » entourant le testicule. Cette hydrocèle est responsable d’une augmentation de volume plus ou moins importante d’une bourse. Il s’agit d’une maladie bénigne qui ne risque ni de s’infecter, ni d’évoluer vers une maladie plus grave.
En revanche, elle peut être responsable d’une gêne, de douleurs ou d’un préjudice esthétique.
L’intervention permet de rendre à votre bourse un volume normal et de faire disparaître les symptômes pour lesquels vous avez consulté.
L’absence de traitement vous expose au risque d’augmentation de volume de la bourse avec apparition ou aggravation des troubles cliniques.
TECHNIQUE OPÉRATOIRE
L’intervention est menée par une incision au niveau de la bourse.
Elle consiste à enlever la poche de liquide ou à la froncer en fonction des anomalies rencontrées pendant l’intervention.
Un drain peut être laissé en place temporairement.
Une hydrocèle Une hydrocèle est une accumulation de liquide dans une « poche » entourant le testicule. Cette hydrocèle est responsable d’une augmentation de volume plus ou moins importante d’une bourse. Il s’agit d’une maladie bénigne qui ne risque ni de s’infecter, ni d’évoluer vers une maladie plus grave. En revanche, elle peut être responsable d’une gêne, de douleurs ou d’un préjudice esthétique. L’intervention permet de rendre à votre bourse un volume normal et de faire disparaître les symptômes pour lesquels vous avez consulté. L’absence de traitement vous expose au risque d’augmentation de volume de la bourse avec apparition ou aggravation des troubles cliniques. TECHNIQUE OPÉRATOIRE L’intervention est menée par une incision au niveau de la bourse. Elle consiste à enlever la poche de liquide ou à la froncer en fonction des anomalies rencontrées pendant l’intervention. Un drain peut être laissé en place temporairement.
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