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L'ACNÉ
L’acné est une dermatose bénigne mais inesthétique causée par une production excessive de sébum qui bouche les pores et entraîne l’apparition de boutons inflammatoires et disgracieux, le plus souvent sur le visage, le dos et le torse. Ce problème dermatologique survient majoritairement à la puberté mais disparaît de lui-même à la fin de l’adolescence. Il touche environ
Quelles sont les causes de l’acné ?
L’apparition de l’acné est liée à divers facteurs :
l’hypersécrétion de sébum : le sébum est une substance grasse sécrétée par les glandes sébacées qui se situe dans les follicules pileux. Il sert à protéger la peau, mais en excès il la rend grasse.
La rétention séborrhéique : lorsque les parois du canal des follicules pileux s’épaissit cela empêche l’excès de sébum de sortir et crée une accumulation. C’est ce qui est à l’origine des points noirs et boutons blancs.
L’inflammation des follicules : les follicules sont naturellement colonisés par une bactérie appelée Propionobacterium acnes. Lorsqu’il y a trop de sébum dans le follicule, ce micro-organisme se multiplie et provoque la formation de papules et de nodules. Les follicules peuvent également s’infecter à cause d’autres bactéries présentes sur la peau et générer des pustules ou des kystes. On parle alors de folliculite.
L’accumulation excessive de kératine provoquant une kératose pilaire.
Comment guérir de l’acné ?
Il y a donc plusieurs stades de traitements en fonction de la gravité des lésions liées à l’acné. Si vous avez quelques boutons d’acné sur le visage ou ailleurs, vous pouvez commencer par appliquer des traitements locaux et des soins disponibles dans le commerce pour réguler la production de sébum et nettoyer la peau correctement.
Si l’acné est sévère, il est préférable de consulter votre médecin généraliste pour envisager une autre solution médicamenteuse ou hormonale.L'ACNÉ đ„Ž L’acné est une dermatose bénigne mais inesthétique causée par une production excessive de sébum qui bouche les pores et entraîne l’apparition de boutons inflammatoires et disgracieux, le plus souvent sur le visage, le dos et le torse. Ce problème dermatologique survient majoritairement à la puberté mais disparaît de lui-même à la fin de l’adolescence. Il touche environ Quelles sont les causes de l’acné ? L’apparition de l’acné est liée à divers facteurs : l’hypersécrétion de sébum : le sébum est une substance grasse sécrétée par les glandes sébacées qui se situe dans les follicules pileux. Il sert à protéger la peau, mais en excès il la rend grasse. La rétention séborrhéique : lorsque les parois du canal des follicules pileux s’épaissit cela empêche l’excès de sébum de sortir et crée une accumulation. C’est ce qui est à l’origine des points noirs et boutons blancs. L’inflammation des follicules : les follicules sont naturellement colonisés par une bactérie appelée Propionobacterium acnes. Lorsqu’il y a trop de sébum dans le follicule, ce micro-organisme se multiplie et provoque la formation de papules et de nodules. Les follicules peuvent également s’infecter à cause d’autres bactéries présentes sur la peau et générer des pustules ou des kystes. On parle alors de folliculite. L’accumulation excessive de kératine provoquant une kératose pilaire. Comment guérir de l’acné ? Il y a donc plusieurs stades de traitements en fonction de la gravité des lésions liées à l’acné. Si vous avez quelques boutons d’acné sur le visage ou ailleurs, vous pouvez commencer par appliquer des traitements locaux et des soins disponibles dans le commerce pour réguler la production de sébum et nettoyer la peau correctement. Si l’acné est sévère, il est préférable de consulter votre médecin généraliste pour envisager une autre solution médicamenteuse ou hormonale. -
SAIGNEMENT DU NEZ OU ÉPISTAXIS
Le saignement de nez (épistaxis) est généralement bénin. La muqueuse des fosses nasales est parcourue de nombreux vaisseaux sanguins très fins, qui saignent facilement mais qui cicatrisent également rapidement. En exerçant une pression sur les cloisons nasales et en utilisant certains produits, on arrête rapidement le saignement.
Quand surviennent les saignements de nez ?
saignement nez
Les saignements de nez sont assez fréquents chez les enfants et pendant la grossesse. Parfois, la muqueuse nasale a été lésée par un grattage un peu vif ou un éternuement violent bouche fermée. L’exposition au soleil, l'usage de médicaments ou de drogues par voie nasale, un air trop sec, une allergie ou un rhume peuvent également déclencher un saignement. Des saignements de nez peuvent également survenir lors d’hypertension artérielle, de troubles de la coagulation ou d’alcoolodépendance, par exemple.
Quels sont les symptômes en cas de saignement de nez ?
Lors de saignement de nez, du sang s’écoule d’une ou des deux narines. Parfois, il se répand aussi dans la gorge, s’avale ou se crache. Normalement, le saignement de nez ne crée aucune complication. Toutefois, si le saignement se prolonge, la perte de sang peut devenir importante. Si le saignement est abondant ou se répète fréquemment, s’il ne s'arrête pas au bout de 10 minutes, malgré diverses tentatives pour le stopper, ou si vous prenez un médicament qui fluidifie le sang, par exemple de l’aspirine, consultez votre médecin.
Comment prévenir le saignement de nez ?
Si vous avez tendance à saigner du nez :
Évitez d’y mettre le doigt.
Mouchez-vous aussi doucement que possible.
Veillez à une bonne humidification des locaux, notamment en hiver et si vous êtes enceinte.
Humidifiez la muqueuse nasale avec du sérum physiologique.SAIGNEMENT DU NEZ OU ÉPISTAXIS đ©ž Le saignement de nez (épistaxis) est généralement bénin. La muqueuse des fosses nasales est parcourue de nombreux vaisseaux sanguins très fins, qui saignent facilement mais qui cicatrisent également rapidement. En exerçant une pression sur les cloisons nasales et en utilisant certains produits, on arrête rapidement le saignement. Quand surviennent les saignements de nez ? saignement nez Les saignements de nez sont assez fréquents chez les enfants et pendant la grossesse. Parfois, la muqueuse nasale a été lésée par un grattage un peu vif ou un éternuement violent bouche fermée. L’exposition au soleil, l'usage de médicaments ou de drogues par voie nasale, un air trop sec, une allergie ou un rhume peuvent également déclencher un saignement. Des saignements de nez peuvent également survenir lors d’hypertension artérielle, de troubles de la coagulation ou d’alcoolodépendance, par exemple. Quels sont les symptômes en cas de saignement de nez ? Lors de saignement de nez, du sang s’écoule d’une ou des deux narines. Parfois, il se répand aussi dans la gorge, s’avale ou se crache. Normalement, le saignement de nez ne crée aucune complication. Toutefois, si le saignement se prolonge, la perte de sang peut devenir importante. Si le saignement est abondant ou se répète fréquemment, s’il ne s'arrête pas au bout de 10 minutes, malgré diverses tentatives pour le stopper, ou si vous prenez un médicament qui fluidifie le sang, par exemple de l’aspirine, consultez votre médecin. Comment prévenir le saignement de nez ? Si vous avez tendance à saigner du nez : Évitez d’y mettre le doigt. Mouchez-vous aussi doucement que possible. Veillez à une bonne humidification des locaux, notamment en hiver et si vous êtes enceinte. Humidifiez la muqueuse nasale avec du sérum physiologique. -
BOUCHON DE CÉRUMEN QU'EST-CE ??
Définition : qu’est-ce qu’un bouchon de cérumen ou bouchon de cire d'oreille ?
Un bouchon de cérumen, également appelé bouchon de cire d’oreille, est une accumulation excessive de cérumen dans le conduit auditif externe, la partie du canal auditif qui s'étend du pavillon de l'oreille jusqu'au tympan. Le cérumen est une substance cireuse produite naturellement par les glandes situées dans le conduit auditif externe. Son rôle est de protéger l'oreille en emprisonnant la poussière, les particules étrangères et les bactéries, évitant ainsi leur intrusion dans l'oreille interne. Un bouchon de cérumen qui sort tout seul est le résultat d'une évacuation naturelle du cérumen par le canal auditif externe. Cependant, le cérumen peut parfois s'accumuler de manière excessive, ce qui entraîne la formation d’un bouchon.
Quelles sont les causes d’un bouchon de cérumen ?
Plusieurs facteurs peuvent contribuer à la formation d'un bouchon de cérumen. Les causes courantes incluent :
Production excessive de cérumen : certaines personnes ont une production naturelle de cérumen d’oreille plus importante que d'autres, ce qui les expose davantage au risque de bouchons.
Utilisation de coton-tiges : insérer des objets tels que des coton-tiges dans l'oreille peut pousser le cérumen plus profondément dans le conduit auditif, ce qui favorise la formation de bouchons.
Port d'écouteurs, de protections antibruit ou d'appareils auditifs : les dispositifs qui obstruent le conduit auditif peuvent perturber le processus naturel d'expulsion du cérumen et former, in fine, des bouchons. De plus, ces dispositifs ont tendance à augmenter les sécrétions, favorisant ainsi l’obstruction du conduit.
Anatomie de l'oreille : certaines personnes ont un conduit auditif étroit ou des courbes prononcées, ce qui peut rendre plus difficile l'évacuation naturelle du cérumen. La présence de poils dans le conduit auditif peut aussi empêcher l'évacuation naturelle du cérumen.
La baignade : en cas de pratique de la natation, le cérumen peut gonfler au contact de l’eau, entraînant alors un bouchon.BOUCHON DE CÉRUMEN QU'EST-CE ?? Définition : qu’est-ce qu’un bouchon de cérumen ou bouchon de cire d'oreille ? Un bouchon de cérumen, également appelé bouchon de cire d’oreille, est une accumulation excessive de cérumen dans le conduit auditif externe, la partie du canal auditif qui s'étend du pavillon de l'oreille jusqu'au tympan. Le cérumen est une substance cireuse produite naturellement par les glandes situées dans le conduit auditif externe. Son rôle est de protéger l'oreille en emprisonnant la poussière, les particules étrangères et les bactéries, évitant ainsi leur intrusion dans l'oreille interne. Un bouchon de cérumen qui sort tout seul est le résultat d'une évacuation naturelle du cérumen par le canal auditif externe. Cependant, le cérumen peut parfois s'accumuler de manière excessive, ce qui entraîne la formation d’un bouchon. Quelles sont les causes d’un bouchon de cérumen ? Plusieurs facteurs peuvent contribuer à la formation d'un bouchon de cérumen. Les causes courantes incluent : Production excessive de cérumen : certaines personnes ont une production naturelle de cérumen d’oreille plus importante que d'autres, ce qui les expose davantage au risque de bouchons. Utilisation de coton-tiges : insérer des objets tels que des coton-tiges dans l'oreille peut pousser le cérumen plus profondément dans le conduit auditif, ce qui favorise la formation de bouchons. Port d'écouteurs, de protections antibruit ou d'appareils auditifs : les dispositifs qui obstruent le conduit auditif peuvent perturber le processus naturel d'expulsion du cérumen et former, in fine, des bouchons. De plus, ces dispositifs ont tendance à augmenter les sécrétions, favorisant ainsi l’obstruction du conduit. Anatomie de l'oreille : certaines personnes ont un conduit auditif étroit ou des courbes prononcées, ce qui peut rendre plus difficile l'évacuation naturelle du cérumen. La présence de poils dans le conduit auditif peut aussi empêcher l'évacuation naturelle du cérumen. La baignade : en cas de pratique de la natation, le cérumen peut gonfler au contact de l’eau, entraînant alors un bouchon. -
Qu'est-ce que la gonorrhée ?
jeune homme
Également appelée blennorragie, chaude-pisse ou chtouille, la gonorrhée est une infection sexuellement transmissible qui touche surtout les moins de 30 ans, en particulier les hommes. Elle est due à une bactérie, le gonocoque, qui se transmet lors de rapports sexuels non protégés. Tous les types de rapports sexuels peuvent être contaminants, y compris la fellation et le cunnilingus qui seraient à l’origine de la moitié des cas de gonorrhée en France.
Quels sont les symptômes de la gonorrhée ?
Chez certains hommes, la gonorrhée ne provoque pas de symptômes mais ces personnes restent contagieuses. Lorsque des symptômes apparaissent, les hommes infectés se plaignent de picotements ou de brûlures en urinant, ou d’écoulements blanchâtres au niveau du pénis ou du rectum. La gonorrhée provoque plus rarement des symptômes chez les femmes. Lorsque c’est le cas, les femmes infectées souffrent de douleurs en urinant ou pendant les rapports sexuels, d’écoulements vaginaux jaunâtres ou sanguinolents et de maux de ventre.
Quel est le symptôme qui caractérise la blennoragie (chez l'homme et la femme) ?
L'infection gonococcique peut revêtir différents aspects :
Chez l'homme : après une incubation courte de 4 à 5 jours, elle se manifeste dans la majorité des cas, au début, sous la forme d'une inflammation au niveau de l'urètre causant des brûlures intenses, semblables à des lames de rasoir, à la miction ("chaude-pisse") et d'un écoulement purulent jaunâtre. Rarement, la maladie reste asymptomatique (sans aucun signe). Moins fréquemment, certains hommes développent des abcès des glandes de Tyson et de Littré.
Chez la femme : l'infection est au contraire le plus souvent asymptomatique, favorisant ainsi la transmission de la maladie. Lorsqu'elle existe, la symptomatologie est pauvre avec une inflammation du col utérin, une inflammation de la vulve et du vagin avec pertes jaunâtres ou une discrète inflammation de l'urètre. La douleur n'apparaît que si l'infection gagne d'autres zones, comme les trompes de Fallope par exemple.
Traitement de l'infection à gonocoque : quels médicaments contre la blennorragie ?
Dans un premier temps, le type de médicament dépendra des symptômes. En cas d'urétrite ou de cervicite non compliquée : un traitement antibiotique "minute" permet d'interrompre rapidement la contagiosité. Spectinomycine (dose unique en 1 seule injection intramusculaire) ou Ceftriaxone (1 seule injection intramusculaire ou 2 comprimés en 1 prise). Les quinolones (rosoxacine, norfloxacine , ciprofloxacine ou ofloxacine ) sont des molécules utilisées moins fréquemment.
Qu'est-ce que la gonorrhée ? jeune homme Également appelée blennorragie, chaude-pisse ou chtouille, la gonorrhée est une infection sexuellement transmissible qui touche surtout les moins de 30 ans, en particulier les hommes. Elle est due à une bactérie, le gonocoque, qui se transmet lors de rapports sexuels non protégés. Tous les types de rapports sexuels peuvent être contaminants, y compris la fellation et le cunnilingus qui seraient à l’origine de la moitié des cas de gonorrhée en France. Quels sont les symptômes de la gonorrhée ? Chez certains hommes, la gonorrhée ne provoque pas de symptômes mais ces personnes restent contagieuses. Lorsque des symptômes apparaissent, les hommes infectés se plaignent de picotements ou de brûlures en urinant, ou d’écoulements blanchâtres au niveau du pénis ou du rectum. La gonorrhée provoque plus rarement des symptômes chez les femmes. Lorsque c’est le cas, les femmes infectées souffrent de douleurs en urinant ou pendant les rapports sexuels, d’écoulements vaginaux jaunâtres ou sanguinolents et de maux de ventre. Quel est le symptôme qui caractérise la blennoragie (chez l'homme et la femme) ? L'infection gonococcique peut revêtir différents aspects : Chez l'homme : après une incubation courte de 4 à 5 jours, elle se manifeste dans la majorité des cas, au début, sous la forme d'une inflammation au niveau de l'urètre causant des brûlures intenses, semblables à des lames de rasoir, à la miction ("chaude-pisse") et d'un écoulement purulent jaunâtre. Rarement, la maladie reste asymptomatique (sans aucun signe). Moins fréquemment, certains hommes développent des abcès des glandes de Tyson et de Littré. Chez la femme : l'infection est au contraire le plus souvent asymptomatique, favorisant ainsi la transmission de la maladie. Lorsqu'elle existe, la symptomatologie est pauvre avec une inflammation du col utérin, une inflammation de la vulve et du vagin avec pertes jaunâtres ou une discrète inflammation de l'urètre. La douleur n'apparaît que si l'infection gagne d'autres zones, comme les trompes de Fallope par exemple. Traitement de l'infection à gonocoque : quels médicaments contre la blennorragie ? Dans un premier temps, le type de médicament dépendra des symptômes. En cas d'urétrite ou de cervicite non compliquée : un traitement antibiotique "minute" permet d'interrompre rapidement la contagiosité. Spectinomycine (dose unique en 1 seule injection intramusculaire) ou Ceftriaxone (1 seule injection intramusculaire ou 2 comprimés en 1 prise). Les quinolones (rosoxacine, norfloxacine , ciprofloxacine ou ofloxacine ) sont des molécules utilisées moins fréquemment. -
Le condylome est une verrue génitale ou anale. Le condylome est une infection sexuellement transmissible fréquente et très contagieuse liée aux papillomavirus humains.
Qu’est-ce qu’un condylome ?
Un condylome est une verrue qui se forme dans la région génitale ou anale. On les retrouve donc sur les parties génitales, autour de l’anus ou à l’entrée du canal anal. Il s’agit généralement de lésions visibles, et plus particulièrement d’excroissances indolores. Dans certains cas, il est possible d’être porteur du virus, mais asymptomatique.
Quelles sont les causes d’un condylome ?
Les condylomes sont causés par le papillomavirus humain. Ce virus va en effet infecter la peau, ce qui va entraîner la création d’un condylome. Le papillomavirus humain est transmis lors d’un rapport avec un partenaire sexuel contaminé, lorsque des parties génitales et/ou anales internes ou externes entrent en contact direct. Les condylomes participent d’ailleurs à la transmission du virus, car il s’agit de lésions visibles.
Quels sont les symptômes d’un condylome ?
Les symptômes d’un condylome peuvent apparaître plusieurs mois, voire plusieurs années, après la contamination. Dans un premier temps, les condylomes sont reconnaissables à leur aspect et leur localisation. Il s’agit généralement d’excroissances rosées de petite taille, que l’on retrouve sur la vulve, le périnée, le col utérin et autour de l’anus chez les femmes, et sur le pénis, plus particulièrement sur le prépuce et le gland, mais aussi dans la région périanale pour les hommes. Les symptômes de ces verrues génitales peuvent également être des démangeaisons au niveau local. Enfin, les condylomes entraînent parfois des saignements, notamment pendant les rapports sexuels.
Le condylome est une verrue génitale ou anale. Le condylome est une infection sexuellement transmissible fréquente et très contagieuse liée aux papillomavirus humains. Qu’est-ce qu’un condylome ? Un condylome est une verrue qui se forme dans la région génitale ou anale. On les retrouve donc sur les parties génitales, autour de l’anus ou à l’entrée du canal anal. Il s’agit généralement de lésions visibles, et plus particulièrement d’excroissances indolores. Dans certains cas, il est possible d’être porteur du virus, mais asymptomatique. Quelles sont les causes d’un condylome ? Les condylomes sont causés par le papillomavirus humain. Ce virus va en effet infecter la peau, ce qui va entraîner la création d’un condylome. Le papillomavirus humain est transmis lors d’un rapport avec un partenaire sexuel contaminé, lorsque des parties génitales et/ou anales internes ou externes entrent en contact direct. Les condylomes participent d’ailleurs à la transmission du virus, car il s’agit de lésions visibles. Quels sont les symptômes d’un condylome ? Les symptômes d’un condylome peuvent apparaître plusieurs mois, voire plusieurs années, après la contamination. Dans un premier temps, les condylomes sont reconnaissables à leur aspect et leur localisation. Il s’agit généralement d’excroissances rosées de petite taille, que l’on retrouve sur la vulve, le périnée, le col utérin et autour de l’anus chez les femmes, et sur le pénis, plus particulièrement sur le prépuce et le gland, mais aussi dans la région périanale pour les hommes. Les symptômes de ces verrues génitales peuvent également être des démangeaisons au niveau local. Enfin, les condylomes entraînent parfois des saignements, notamment pendant les rapports sexuels. -
Mon mood après une présentation de garde de nuit réussieđ©”Mon mood après une présentation de garde de nuit réussieđ©”đ€Ł
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Améliorez votre bien-être ! Votre santé est entre vos mains et il est de votre responsabilité d'améliorer votre santé et celle de vos proches.Améliorez votre bien-être ! Votre santé est entre vos mains et il est de votre responsabilité d'améliorer votre santé et celle de vos proches.đŠ
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Être patient ce n'est pas attendre ; être patient c'est agir en attendant đ #Afiatalkeursđ€
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LA VARIOLE DE SINGE/MpoxLA VARIOLE DE SINGE/MpoxđLes symptômes courants de la #mpox comprennent une éruption cutanée qui peut commencer ou être suivie de :
âïžfièvre
âïžgonflement des ganglions lymphatiques
âïžmal de gorge
âïžmaux de tête
âïždouleurs musculaires
âïžmal de dos
âïžfaible énergie
#VaincreMpoxEnRDC -
Les fièvres typhoïdes et paratyphoïdes sont causées par des bactéries appartenant au genre Salmonella, mais dont le réservoir est strictement humain. Ces bactéries appartiennent au sérotype Typhi ou moins fréquemment aux sérotypes Paratyphi A, B ou C. La contamination résulte, le plus souvent de l’ingestion d’eau ou d’aliments ayant subi une contamination fécale d’origine humaine ou d’une transmission directe de personne-à-personne.
Quels sont les symptômes ?
Une à trois semaines après la contamination survient une fièvre continue accompagnée de maux de tête, d'anorexie, d'abattement, de douleurs abdominales avec diarrhée ou constipation et parfois d’une éruption cutanée.
Dans les formes bénignes, l’état reste stationnaire pendant une quinzaine de jours puis la convalescence dure plusieurs semaines. Dans les formes plus graves où des complications peuvent survenir au niveau de l’intestin, du cœur ou du cerveau, la fièvre typhoïde peut être fatale en l’absence de traitement.
Le taux de mortalité est de 10% en l’absence de traitement antibiotique efficace comparé à moins de 1% pour les autres formes de salmonellose
Comment diagnostiquer la maladie ?
Le diagnostic est généralement confirmé par la culture bactériologique du sang (hémoculture), de moelle osseuse ou d'un échantillon de selles (coproculture), qui permet d'isoler les bactéries responsables de la maladie.
Quels sont les traitements ?
Une antibiothérapie appropriée abaisse le risque de mortalité à moins de 1%. Les fluoroquinolones (ciprofloxacine), les céphalosporines de troisième génération ou l’azithromycine sont des antibiotiques de choix pour traiter les fièvres typhoïdes et paratyphoïdes. Cependant de plus en plus de souches résistantes aux antibiotiques sont isolées, en particulier en Asie du Sud-Est et dans le sous-continent Indien. Ainsi plus de 90 % des souches isolées dans ces régions sont de sensibilité diminuée aux fluoroquinolones (1). Depuis 2018, des souches résistantes à la fois à la ciprofloxacine et aux céphalosporines de troisième génération ont été isolées en France métropolitaine (1). Plus récemment des souches résistantes à l’azithromycine sont apparues. Toutes ces souches originaires d’Asie du Sud sont sous étroite surveillance au CNR.
Comment prévenir la maladie ?
La prévention repose sur la surveillance épidémiologique et la lutte contre le « péril fécal ». La dissémination des bactéries peut être enrayée par : une distribution d’eau de qualité, bactériologiquement contrôlée, le traitement des eaux usées, la généralisation du tout-à-l’égout, le contrôle des zones de récolte des coquillages, la pasteurisation des aliments, beurre et lait en particulier et le respect strict des règles d’hygiène pour tous les travailleurs du milieu de la restauration.
Des vaccins anti typhoïdique administrés par injection (unique) ou par voie orale (trois prises), peuvent être recommandés chez les voyageurs. L’effet protecteur dure environ 3 ans et le taux de protection en zone d’endémie est de l’ordre de 60%. Cette vaccination vient toutefois en complément des mesures essentielles d’hygiène générale vis-à-vis de l’eau et des aliments et du lavage des mains.Les fièvres typhoïdes et paratyphoïdes sont causées par des bactéries appartenant au genre Salmonella, mais dont le réservoir est strictement humain. Ces bactéries appartiennent au sérotype Typhi ou moins fréquemment aux sérotypes Paratyphi A, B ou C. La contamination résulte, le plus souvent de l’ingestion d’eau ou d’aliments ayant subi une contamination fécale d’origine humaine ou d’une transmission directe de personne-à-personne. Quels sont les symptômes ? Une à trois semaines après la contamination survient une fièvre continue accompagnée de maux de tête, d'anorexie, d'abattement, de douleurs abdominales avec diarrhée ou constipation et parfois d’une éruption cutanée. Dans les formes bénignes, l’état reste stationnaire pendant une quinzaine de jours puis la convalescence dure plusieurs semaines. Dans les formes plus graves où des complications peuvent survenir au niveau de l’intestin, du cœur ou du cerveau, la fièvre typhoïde peut être fatale en l’absence de traitement. Le taux de mortalité est de 10% en l’absence de traitement antibiotique efficace comparé à moins de 1% pour les autres formes de salmonellose Comment diagnostiquer la maladie ? Le diagnostic est généralement confirmé par la culture bactériologique du sang (hémoculture), de moelle osseuse ou d'un échantillon de selles (coproculture), qui permet d'isoler les bactéries responsables de la maladie. Quels sont les traitements ? Une antibiothérapie appropriée abaisse le risque de mortalité à moins de 1%. Les fluoroquinolones (ciprofloxacine), les céphalosporines de troisième génération ou l’azithromycine sont des antibiotiques de choix pour traiter les fièvres typhoïdes et paratyphoïdes. Cependant de plus en plus de souches résistantes aux antibiotiques sont isolées, en particulier en Asie du Sud-Est et dans le sous-continent Indien. Ainsi plus de 90 % des souches isolées dans ces régions sont de sensibilité diminuée aux fluoroquinolones (1). Depuis 2018, des souches résistantes à la fois à la ciprofloxacine et aux céphalosporines de troisième génération ont été isolées en France métropolitaine (1). Plus récemment des souches résistantes à l’azithromycine sont apparues. Toutes ces souches originaires d’Asie du Sud sont sous étroite surveillance au CNR. Comment prévenir la maladie ? La prévention repose sur la surveillance épidémiologique et la lutte contre le « péril fécal ». La dissémination des bactéries peut être enrayée par : une distribution d’eau de qualité, bactériologiquement contrôlée, le traitement des eaux usées, la généralisation du tout-à-l’égout, le contrôle des zones de récolte des coquillages, la pasteurisation des aliments, beurre et lait en particulier et le respect strict des règles d’hygiène pour tous les travailleurs du milieu de la restauration. Des vaccins anti typhoïdique administrés par injection (unique) ou par voie orale (trois prises), peuvent être recommandés chez les voyageurs. L’effet protecteur dure environ 3 ans et le taux de protection en zone d’endémie est de l’ordre de 60%. Cette vaccination vient toutefois en complément des mesures essentielles d’hygiène générale vis-à-vis de l’eau et des aliments et du lavage des mains.
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